La Geste des Gueux
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 Le journal de Rhyn.

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Rhyn

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MessageSujet: Le journal de Rhyn.   Le journal de Rhyn. Icon_minitimeLun 3 Nov - 19:59

Un journal au page recouvertes de gribouillis et de traces de pattes dans le quel, si vous seriez capable de comprendre ce qui y est jeter, vous pourriez lire ceci.. ou presque.


Page 100 et antérieur :

-"Tout n'est qu'une question d'équilibre !
Il suffit juste de savoir ou se trouve la limite qui fera basculer le tout. Un peu comme l'attention que l'on porte aux affaires que l'on transporte sur soit. Si vous saviez à quel point il m'est facile... de me servir. Voyez vous, tout le monde me fais de jolie cadeaux.. tant que je les chatouille pas trop... après.. ben.. ils s'énervent, et là, je dois courriiiiiiiiir très vite.... évitez un peu tout ce qui se trouve sur ma route.
Les gens comprennent jamais comment je fais pour grimper n'importe ou, et les gens qui crient se fatiguent à me regarder partir par les murs et les toits. C'est pourtant si facile..... Sauf quand les toits sont pas solide."
Les paroles sont débités de la bouche d'un jeune félis au pelage sombre et propre malgrés la captivité, sur un ton de plaisanterie si commun aux félis qui jouent au malin.
Il regarde son questionneur de ses yeux verrons et divergeant, lui insinuant un trouble certain.
Une balafre part de sa joue gauche sous son oreille pour venir s'arrêter au milieu de son arête nasale.
Il affiche un large sourire qu'il ne cache que très rarement, mais quand même.
Ce homme chat mesure 1m65 pour pas lourd, sans pour autant être maigre.
Il est vêtue de noir, mais porte une ceinture doté, en temps normal, d'un poignard.
Il se déplace habillement, intelligemment et avec souplesse mais sans frayeur aucune.

Le jeune Félis qui s'exprime se montre maintenant déçu, il hausse les épaules. Ses yeux verrons divergeant sont, comme d'habitude, incernable. Sa tenue aux manches longues le maintiens bien en place, immobile, les pattes coincés dans le dos. L'homme de médecine avec qui il s'entretient semble s'ennuyer sévèrement. Le médecin joue distraitement avec une pièce pendent que le psycho félique débite ses âneries...
-"Quel gâchis, songe t il, un jeune homme dans la force de l'âge fou, et pickpocket... Assuré de son bon droit de prendre ce qui ne lui appartient pas...."
Il jauge le jeune malade, ce jeune Félis au nez et à la joue gauche sillonnés par une belle balafre, sa peau clair contraste avec son pelage sombres. Et ses yeux ! Comment peut on avoir des yeux pareils !? L'un est bleu, l'autre vert, comme si c'était pas assez dérangeant, aucun ne regarde dans la même direction que l'autre, du coup, on ne sait jamais vraiment lequel regarder. Il affiche un grands sourire, cet idiot. Il ne comprends pas qu'il restera là longtemps... Il n'existe pas de médecine pour guérir son mal...
La pièce passe entre ses mains, il la fait jouer sur ses doigts en écoutant le résumé de la vie du jeune homme jusqu'au moment ou il s'est fait coincé en tapant sur un homme de loi avec un poulet mort. Le médecin pose la pièce sur la table et se relève. Il fait le tour de la petite pièce sombre a la seule fenêtre aux lourds barreaux. Il se retourne et frappe a la porte pour appeler le garde. La porte s'ouvre sur un garde au regard énigmatique.
-"Vous faites quoi seul dans cette pièce ?" Dit il de sa voie bourru. Le médecin se retourne, personne à table, il ne perçoit pas les mouvement du jeune homme dans son dos, lent et délicats, profitant des angles morts.
-"Il y avait un jeune homme, un prisonnier ici avec moi ! Il ne peut pas avoir disparut ! Entrez ! Et aidez moi à le trouver !"
Le garde entre et tout deux ne remarquent pas l'ombre vive qui se glisse vivement entre leurs jambes. Ils cherchent, bêtement, dans la pièce lorsque qu'un bruit de tissus se fait entendre dehors. Ils se retournent alors et se précipitent hors la cellule pour ne trouver qu'une camisole vide dans le couloir. Le garde file lancer l'alerte, le médecin peste et retourne chercher sa monnaie dans la pièce, mais bien sur... elle a disparut. En ressortant, de rage il frappe la porte, comme pour se défouler un peu, un bruit métallique se fait entendre de l'autre coté de la porte, il la contourne et ramasse sa petite pièce.
-"Ca alors...."
A peine quelques minutes plus tard, au dehors, sautant d'un mur sur le toit d'une maison proche, un jeune homme aux yeux verrons entre par une fenêtre âpres s'être assuré que la maison est vide, rapidement il trouve de quoi se vêtir. Et de quoi se nourrir, et de quoi se payer des lames.
Il se dit a lui même :
-"Mon tit Rhyn, l'est temps de repartir, et vite !"
Le lendemain, on saura dans cette ville qu'un fou s'est échappé de prison. On apprendra aussi qu'un prêtre a vus un homme vêtus en noir et aux yeux bizarre prendre un poignards dans les bras d'une statue d'un saint homme.
Mais on ne fera pas le lien avec le jeune Félis qui, une semaine plus tard, passera au travers du toit d'un poste du guet dans une ville assez lointaine.

En partant sur les routes, Rhyn repense vaguement a son passé. Son enfance heureuse dans sa famille malgré la sévérité de la vie avec celle ci. Il appris tout ce qu'il sait de ses parents, autant l'art de la cabriole, que celui du vol. Domaine ou, très doué, il rendit vite ses parents chèvres de n'avoir de cesse de piller le garde manger. Puis vint le jour ou les gardes, armées jusqu'au dents et au delà emportèrent ses parents derrière les barreaux. Le laissant négligemment seul en raz campagne avec sa tente trouée. ( oui, ca n'est pas un membres de sa famille, mais bien un ustensile). Il partit donc pour la grande ville ou il rencontra une jeune bande de voleur auquel il s'attacha rapidement. Le leader du groupe se nommait Maltus. après plusieurs coup, ou l'amitié se renforçait entre eux et la bande, Maltus fut retrouvé mort et d'une manière fort peu coutumière. La bande se disloquât sans que cela ne préoccupe plus que ca Rhyn. Les déambulations de Rhyn l'amenèrent dans le quartier bourgeois de la ville, ou assise sur un banc, une jeune fille jouait d'un instrument à corde. Bien que n'ayant pas la fibre musicale, Rhyn fut envouté et revint les jours suivant, encore et encore. Puis un jour bravant sa timidité, il entama la conversation, et alors que les doigts de la jeune fille caressait l'instrument, il firent plus ample connaissance. Ils se lièrent au fil de la conversation, et parlèrent ainsi tout les jours suivant, encore et encore. Rhyn ne se sentait plus que de penser à cette jolie demoiselle vêtue toujours dans ses beaux habits. Un certain malaise étreignait pourtant son cœur au fur et a mesure que ses sentiments se renforçait. Les deux jeunes gens ne se sentait bien qu'en présence l'un de l'autre. Mais ce qui devait arriver, arriva. La jeune demoiselle, fille d'un riche bourgeois due partir suivre son père vers une île au nom étrange qu'il avait obtenus en régence. Rhyn et elle passèrent une semaine sans se quitter, toujours en secret, pas une nuit de leur dernière semaine sans qu'ils ne s'étreignirent dans la joie et les larmes.
Sur le port, le jour du départ, il tentait de monter dans le bateau, mais le gardes l'attrapèrent et le collèrent en cellule pour deux bon mois après lesquelles il s'enfuit. Au sortir, plus rien ne lui importait. Il se contenta de vivre sa vie comme elle venait. Se promenant sur les toits, la nuit, regardant la lune avec amertume. Le miaulement triste coincé dans sa gorge se transforma en cris de stupeur quand le toit du bureau de la milice sur le quel le menais ses pattes s'écroulât pour le mener après quelque hurlement et un flot de douleurs dans son corps, deux étages plus bas, en cellule et en compagnie d'un elfe.
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MessageSujet: Re: Le journal de Rhyn.   Le journal de Rhyn. Icon_minitimeLun 3 Nov - 20:02

Page 101

J'ouvre un œil quand les porte grincent sur leurs gonds. Les gardes font entrer une petite troupe d'individus dont un, l'air très noble... Mais très mal en point aussi. Ils parlent beaucoup, dans l'autre cellule les Guris jouent toujours aussi bruyamment aux dés. S'ensuit des allé retours diverses et varié des gardes venant chercher l'un de mes nouveaux compagnons de cellule, puis ramène un ... Euh... A peu près la même chose mais en beaucoup plus abimés. La fille du groupe qui a fait du gringue aux gardes a eu droit aussi a ses "attention" et du coup se retrouve silencieuse due a une mâchoire brisée. Maintenant, ils ont tous l'air plus ou moins en état.. en fait ils ont tous l'air moins en état. Et voilà pas qu'ils commencent a cogiter a se barrer de la prison.... Et en plein jour en plus... La gamelle arrive. Au passage, on m'annonce que demain, je vais a Aubagne ( oui, il a pas capté). On torche tous nos gamelles qui, apparemment droguées, nous plonge tous dans un profond sommeil. A notre réveil doux et attendris par les gardes... Non, par un réveil dur et vif des gardes, nous sommes invité a passer de sublime colliers qui nous relient les uns aux autres. Dans l'autre cellule, les guris sont très.... Pas là.C'est normal, ils sont en file indienne pour se faire pendre, et c'est d'ailleurs là qu'on nous mène... En tant que spectateur. Du coups les Guris sont très.. pendus. Ainsi qu'un handicapé et un je sais pas quoi de gosse, mais qui a pris son pieds apparemment, je sais pas trop, mais si je pouvais, je lui planterais bien une nécropole dans son BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP.

Puis on nous ramène en cellule. Peu après, on vient nous sortir de cellule, on nous file de quoi nous laver, habiller, et manger... Apparemment, une somme forfaitaire pour le groupe et doté de pas mal de zéro a été confier de manière a nous faire sortir de ces cages. On se retrouve donc chez la cousine d'un des nobles du groupes. La, j'en apprends un peu plus :
Un dénommé Julien à été tué alors qu'il livrait une lettre de permission d'accoster pour le bateau du nom de "Joyau de Samarande". Le fait est que la dernière personne a l'avoir signer et valider ainsi l'entrée de ce bateau en ville atteste n'avoir jamais eu ce document entre ses pattes.
Il est également sujet de "lettres d'amour" écrite par une dinde... Jamais su que les dindes pouvait écrire, mais bon si les rats le peuvent... Quoique...
Donc nous partîmes ensuite nous promener, tandis que le noble, cousin de la charmante demoiselle s'arrangeait avec celle ci pour s'entretenir avec la dinde.
Quant a moi, après avoir reçut du gentilhomme un kit de crochetage que je perçois comme d'une grande utilité a venir, je partis essayer de trouver les personnes responsable des arts et spectacle de la ville. Je trouvais des mendiants qui m'orientèrent vers le "Montreur d'Ours" que je n'ai toujours pas réussit à rencontrer. Je me renseignais aussi sur le tarif des cordes. Histoire d'améliorer mon idée de représentation acrobatique, mais hélas le tarif était plus qu'au dessus de mes moyens. Je me résolvais donc à me lancer dans un spectacle de d'acrobatie simple mais qui eu son effet. Même si c'était peu, ca aura déjà son utilité si cela permets de rencontrer l'homme montreur d'ours. Et puis, ca fait toujours une rente. Je retrouvais mes compagnons a midi, écoutant d'une oreille distraite leur mésaventures du matin. J'appris aussi que la dinde acceptait de venir l'après midi même. Bon, j'irais refaire une petite séances d'acrobatie. Mon après midi se fait assez calme somme toute.
Au soir, je retrouve mes compagnons, le jeune homme et sa cousine semblent encore sur les nerfs de leur rencontre avec la dinde..... Il y en a sur la table... Je mange en évitant soigneusement celle ci.. On ne sait jamais. Puis les discussions vont bon train, je m'enquis de comment et par qui le corps de Julien a été trouvé. Je trouve tout ça louche moi, mais les autres n'ont pas la puce a l'oreille. Tant pis, je garde ça sur mon oreille pour plus tard. On organise une petite expédition pour observer la demeure de Merkal ( le monsieur, supposé avoir tuer/fait tuer Julien) Je grimpe sur un toit, en bas un barouf se fait entendre, je regarde et je vois la demoiselle qui était avec moi s'étaler au sol, apparemment de pas trop haut... Bon, on la joue malin, j'envoie une brique a coté d'elle, elle ne semble pas comprendre, pas grave, elle file et se dissimule dans les ombres. Tant mieux, ceux que le bruit aura attirer ne trouveront qu'une brique sur la chaussée. Je la vois ressortir, aller voir la grille puis retourner se cacher avant le passage de la milice. Pour ma part, je me mets a observer la maison, assis dans l'ombre d'une cheminée. Pas grand chose a dire, ni a voir, si ce n'est un garde qui vadrouille de temps en temps à l'intérieur. Je tente alors de redescendre discrètement de l'autre coté de la façade, coté jardin, mais bien sur, il y a un maudit clébard... Je déteste ses bêtes, et je prévois un accident a celui ci pour la frousse qu'il m'a collé. Je remontais donc en quatrième vitesse, puis redescendais sur le coté, puis sur la façade.et retournait au manoir de ... *se gratte la tête* Dame Telania.. je crois.... Bon, la cousine noble qui a claquer toute sa fortune a nous sortir de prison. Après cela, je me vautre et je roupille, épuisé et songeant a ma futur terrible vengeance.
Ne sachant que faire, nous attendons l'arrivée du bateau afin de confirmer nos soupçons, je fais de temps en temps mon petit numéros d'acrobatie a diverses endroits de la ville. Puis le jour de l'arrivée du bateau se présente, nous allons donc au port le matin, en patientant, je me force a moins tenir rigueur à l'eau, et au bout de deux heures et demi, je parviens a tremper ma papatte dans l'eau, j'en frémis et laisse là pour aujourd'hui mon courage. Je pars alors faire mon petit numéros, légèrement interrompus par un de mes "camarades" qui a presque faillit me planter un couteau dans la trogne en venant jongler au travers de mes acrobaties. Un peu plus tard, deux vont a la capitaineries pour s'entretenir avec celui ci, les deux autre essaient de réfléchir a une annonce a faire en public... Avec beaucoup de bon sens je m'éloigne d'eux en les gardant a l'œil. Mais leur paroles sont si décousus de sens que personne ne semble en saisir le sens jusqu'au moment ou les fruits avariés se mettent a voler. Ils s'en sont donc sortie indemne dans leurs corps, peut être moins dans leur moral. Nous retrouvons nos camarades, dont l'un assez éméchés chez la... Rhaaa... la cousine de son cousin. Là.
On lui raconte tout, ou a peu près, et apparemment, l'entretien avec le capitaine a porté ses fruits. Nous apprenons plus tard que Mer...Mas...Meskal s'est enfuis de la ville et, encore plus tard, qu'il a été retrouvé égorgé comme julien.... Ce sont les grands anciens, j'entends alors. Bizarrement, mon poils se hérisse a ce titre.... Nous repartons désormais à l'aventure. Je suppose que la personne ayant fait éliminer Ma... ... ... Chin ne voulait pas qu'on remonte a lui si son sous fifre était trop bien interrogé. ( et apparemment, ils savent interroger ! )


Dernière édition par Rhyn le Lun 3 Nov - 20:03, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Le journal de Rhyn.   Le journal de Rhyn. Icon_minitimeLun 3 Nov - 20:02

Page 102

Après plusieurs semaines de représentations peu rémunératrice, j'ai enfin rencontré le montreur d'ours. Quoique ce serait plutôt lui qui soit venue me voir a la fin de ma dernière représentation. Mais.. Je n'ai pas vu d'ours... Enfin, l'affaire est conclus, pour un modique somme, j'aurais ma place ou faire mes acrobaties. Il me proposera aussi diverses contrats.

Plus tard, en compagnie de Monsieur Sacirberk, De la petite aux gants noirs, de l'elfe aux oreilles de chat en plus moche, et quelque autres, nous nous sommes rendus à un rendez vous avec Betty Gwen dans une taverne qui s'appelle "La Roue" Y avait une roue devant, parait que c'est d'elle que vient le nom du tripots.

Dame Gwen nous expliqua plus en détails les tenants et abrutissant de l'affaire.
Qu'elle voulait obtenir six bouteille de vin trés fins de manière trés fine et sans avoir a payer le prix fort, mais en nous versant une somme conséquente. Les objets de sa convoiturise se trouvait au sous sol de la maison du vendeurs de vins renommé Nacer Lariki.
Je m'aperçus alors à la table d'autre personnes nous avait rejoints en sus du Guri déjà présent. Assez calme d'ailleurs. J'essayais de mémoriser les noms. Le Guri calme se nommait Stitch. Une femme vêtues de noir se nommait Ghaya. Un autre Guri, à l'air beaucoup plus naturel celui ci se nommait Dan'le... Les parents de celui ci devait avoir une idée derrière la tête... ou ailleurs. Il y avait un autre elfe, assez distant, mais toutefois étrangement sympathique du nom de Pyle. Dans la conversation, Dame Gwen nous présenta Tédepinne. Ça faisait rire pas mal les gens. J'ai pas tout saisis, mais je riais. Histoire de pas faire tache. Son vrai nom était Kalar. Moi, je l'appelle Kalamar. Bien sur monsieur Sacirberk, Tharivolet Emmy étaient présent.
Que dire d'autre ?... Ah oui. Elle nous a parler aussi des Basilic, des gros poulets bien dangereux qui semble manger de petits animaux.... Et que résidait dans la demeure des étudiants en l'absence du propriétaire. Elle nous dit aussi qu'elle pouvait pourvoir a nos besoins de matériel. Nous primes congés et tinrent palabres dans la glaçonierre de Monsieur Sacirberk. Nous parlions beaucoup, assez embêté par la présence de ces gros poulets agressif qui pouvais te pétrir d'un simple regard. Mia ! On a finis par opter pour des bestioles vivantes sur lesquels on mettrait du sommier-fier. Par la suite, on appris que les basilik ne mangeait que de la viande faisandé. Et moi, ça, je connais ! A force d'être toujours sous la flotte..... Donc on a enroulé des lapereau morts dans du tissus mouillé pour les faire faisandés mais c'était plus tard tout ça ! Mia ! Faut que je revienne à mes boules de poils !
Donc oui, le palabre chez Monsieur Sacirberk, on s'organisa comme ceci :
Stitch, Dan'le et Tharivol sont passé faire une petite reconnaissances dans les égouts, nous confirmant à leur dégoutant retour la présence des bébétes. Mais qu'on pouvait pas rentrer par là. Passage trop petit !
Henrich partis a la pêche aux renseignement chez les vendeurs d'animaux exotique et revint avec un livreur, un vavarhum et un verrou flamant.
Emmy, Dan'le et moi même nous sommes allez voir pour trouver du sommier fier, nous sommes tomber sur un barbier qui voulait absolument me retirer une dent... Et le Guri voulait absolument perdre dix pièces d'or pour me faire opérer... J'ai refusé, et le Guri a perdus ses pièces. Bien fait ! Pendent que je parlais et essayait de faire comprendre que j'étais d'un naturel très attaché a mes crocs, Emmy déroba ce dont on avait besoin. Ce qui nous épargna de perdre 500 pièce d'or dans un produit plus que douteux.
Quand a l'elfe Pyle, il partit a la rencontre des étudiants, mais nous relata sommairement sa rencontre, nous citant le "renvoi" de la petite. Il avait rendez vous le lendemain soir pour diner avec eux. mais dus partir par la suite.
Quand a Kalar, il partit tracer l'itinéraire de notre trajet.

Pour agir aisément, nous avons décider de nous faire passer pour des laquets de la guilde des aubergistes pour venir chercher de la picole en soirée. une idée de vendre les basilik fut lancé, et la possibilité du chiffres qu'ils représentent fut assez pour ajouter sur notre liste que voici quelque caisses pour les transporter sans leur laisser une vue sur l'extérieur mais en leur laissant de l'air.

Une partie de nos camarades du s'en aller pour diverse raison en début de soirée, si bien que nous n'étions plus que quatre pour fignoler les détails.

Pour ma part je passais quelque jour à observer les aller retours des six étudiants du haut d'un toit. Alors que Messire Sacirberk s'enquit à l'école de magie sur un moyen de se défaire d'un... du truc invoqué par un mage pour protéger sa demeure en compagnie d'Emmy. Ils revinrent avec des informations alarmantes, et gênante... assez angoissante. Car ils venait de rencontrer l'un des étudiants qui réside a la demeure que nous devrons visiter. Stitch partis s'entretenir avec Dame Gwen et nous affirma qu'un slo... Cross... que le truc était pas un gros danger. Après avoir réceptionné le matériel avancé par dame Gwen, nous avons décider d'attendre le retour de nos compagnons pour passer à l'action. Je clos pour l'instant ici mon journal, nous entendons le bruit de pas de nos compagnons qui reviennent. Je poursuivrait plus tard si les blistique ne m'ont pas pétris, si le gros rixte ne m'a pas gloutonner ou autre chose encore.
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MessageSujet: Re: Le journal de Rhyn.   Le journal de Rhyn. Icon_minitimeLun 3 Nov - 20:18

Page 103

J'ai mal.. horriblement mal.. parait que ca fait une semaine que je suis dans cet état.. que j'ai "salement morflé".
Parait que l'identité de Rhyn est morte, et que je suis quelqu'un d'autre.. je comprends pas trop.. J'ai pas trop les idées clair encore.... Faut que je commence par le début....

On a finis par avoir le matos pour faire le retrait chez Nacer, on a enfiler tout costumes, pis on a filer chez lui... à midi.. sur la route quelque chose me gratouillait l'oreille, mais je sais pus quoi... pis j'étais présssé d'en finir l'idée de rencontrer des ... mince..... Euh.. on va dire acrylique... je corrigerais plus tard, quand j'aurais redemander a je sais pas qui.. ou que ca me revienne... et les... mince.... euh.... Ah oui, les brocolix.. Enfin bref deux forme de bestioles peu ragoutante que j'ai pas envie du tout de rencontrer. Donc.. jusqu'au moment ou on est arrrivé devant la demeure de l'autre dealer aux alcolos, ca allait relativement bien, c'est apres que ca a commencé a partir en... (petite rature suivie d'une grosse rature) choupinette !
Pour commencer, le produit a pas vraiment endormis les basilics, plutot les ont... euh... assomé, rendu malade comme un chien ( d'ailleur je dois toujours rendre visite a un clébard...) Ce qui a attiré l'attention de mon oublis, les deux magiciens qui rentrait diner à midi. On a replié le camp et on est repartis. La cariole eu un peu de mal a démarrer, les trucs qui ressemblent a des chevaux mais en plus moche voulait pas avancer. Pusi, au bout de quelque minutes, le chariot se mit en branle. Je le suivait calmement..... Je pensait pas qu'ils allaient courir... ben si. comme des dinguos qu'ils ont filer, jusqu'a se cogner la chariolle contre un mur. Et laissez moi vous dire, entre la chariole et le mur, c'est pas la chariole qui a gagné. Résultat, un petit quart d'heure a ramasser morceau de chariole, mais surtout morceaux des trois caisses qui ont sauté par dessus bord.
Apres une petite demi heure, on est revenus a la barraque en ayant fait un grand détour. Je pensais que c'était le mec assis qui conduisait l'attelage... mais bon. Dans l'entrée, et dans une piece : trois basilique qui dormais comme des bien heureux un peu malade. Je les ai pris et les ai mis en caisse., puis, on a chargé les caisse dans la charette ( ou bien sur, on atout déchargé avant.) Y avait une drole de statue qui avait, bizarrement posé le pieds sur un basiliq .. ouais ! basilic ! fin le bestiaux était mort, et la statue bizarre. Peut etre était ce un des étudiants?... Bon, pssons, pendent que certain vident a peu pres tout, nous, on descends a la cave, puis a la sous cave (bizarre ses gens qui ont deux caves). le brocolix nous joue de sale tour, mais rien de bien casse pieds. On trouve les bouteilles, pis aussi un truc bizarre un.... Kalamarien. qui veut de l'or pour je sais pas trop quoi, mais qui veut rentrer chez lui, ca, j'en suis sur. Il est bléssé, on le ramene chez Sacerbeck, on le soigne et on lui donne a manger. Puis on le laisse là pour aller rendre le butin. Hélas, Stitch reviens apres nous et embarque le Kalamarien au lieu de rencard. On arrive sans encombre au lieu de rendez vous, apparement pas les Basilik. vu que la caleche se fracasse, deux caisses aussi et deux basilic en liberté. les deux conducteurs chopent la caisse intact et la mette en lieu sur. Ils nous rejoignent apres. S'envient ensuite Stitch et le kalamariens.

Apres un long débat, nous sommes décidé par Betty de partir nous mettre au vert quelque temps, lui laissant le kalamarien que nous devrons aller aider a ramener chez lui sous une semaine.
Sauf que... Au vert signifie un lieu si pourrit que jepeux même pas marcher sur les toits. Qu'on apprends vers la find e la semaine que betty est morte et qu'on a des assassins aux fesses. Le groupe s'arrange avec la population gurri pour être ms au sec. Je quitte la ville le lendemain, direction la foret. Premiere nuit a peine, je me réveille avec une grosse douleur, je sors mes dagues, mais je me fais encore plus blésser par un guri encapuchoonné. Je me démene comme un fou, mais je le touche même pas. Je sombre dans l'inconscience... je me réveille plus tard à Samarande, Stitch pas loin. Apparement il m'a sauvé les fesses...
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