La Cave a Vin de Larriki et Embrouillamini à Bejofa

Admin Messages : 171 Date d'inscription : 28/08/2008

Extraits des carnets des Lames

Rhyn a écrit:: Après plusieurs semaines de représentations peu rémunératrice, j'ai enfin rencontré le montreur d'ours. Quoique ce serait plutôt lui qui soit venue me voir a la fin de ma dernière représentation. Mais.. Je n'ai pas vu d'ours... Enfin, l'affaire est conclus, pour un modique somme, j'aurais ma place ou faire mes acrobaties. Il me proposera aussi diverses contrats.

Emmy faisant de fructueuse affaires de son coté.

Plus tard, en compagnie de Monsieur Sacirberk, De la petite aux gants noirs, de l'elfe aux oreilles de chat en plus moche, et quelque autres, nous nous sommes rendus à un rendez vous avec Betty Gwen dans une taverne qui s'appelle "La Roue" Y avait une roue devant, parait que c'est d'elle que vient le nom du tripots.
Insérez ici le grand speech de Medhy. ou pas.

Dame Gwen nous expliqua plus en détails les tenants et Aboutissant de l'affaire.
Qu'elle voulait obtenir six bouteille de vin trés fins de manière trés fine et sans avoir a payer le prix fort, mais en nous versant une somme conséquente. Les objets de sa Convoitise se trouvait au sous sol de la maison du vendeurs de vins renommé Nacer Lariki.

Je m'aperçus alors à la table d'autre personnes nous avait rejoints en sus du Guri déjà présent. Assez calme d'ailleurs. J'essayais de mémoriser les noms. Le Guri calme se nommait Stitch. Une femme vêtues de noir se nommait Ghaya. Un autre Guri, à l'air beaucoup plus naturel celui ci se nommait Dan'le... Les parents de celui ci devait avoir une idée derrière la tête... ou ailleurs. Il y avait un autre elfe, assez distant, mais toutefois étrangement sympathique du nom de Pyle. Dans la conversation, Dame Gwen nous présenta Tête de pine. Ça faisait rire pas mal les gens. J'ai pas tout saisis, mais je riais. Histoire de pas faire tache. Son vrai nom était Kalar. Moi, je l'appelle Kalamar. Bien sur monsieur Sacirberk, Tharivolet Emmy étaient présent.

Que dire d'autre ?... Ah oui. Elle nous a parler aussi des Basilic, des gros poulets bien dangereux qui semble manger de petits animaux.... Et que résidait dans la demeure des étudiants en l'absence du propriétaire. Elle nous dit aussi qu'elle pouvait pourvoir a nos besoins de matériel. Nous primes congés et tinrent palabres dans la garconiere de Monsieur Sacirberk. Nous parlions beaucoup, assez embêté par la présence de ces gros poulets agressif qui pouvais te pétrir d'un simple regard. Mia ! On a finis par opter pour des bestioles vivantes sur lesquels on mettrait du sommier-fier. Par la suite, on appris que les basilik ne mangeait que de la viande faisandé. Et moi, ça, je connais ! A force d'être toujours sous la flotte..... Donc on a enroulé des lapereau morts dans du tissus mouillé pour les faire faisandés mais c'était plus tard tout ça ! Mia ! Faut que je revienne à mes boules de poils !

Donc oui, le palabre chez Monsieur Sacirberk, on s'organisa comme ceci :
Stitch, Dan'le et Tharivol sont passé faire une petite reconnaissances dans les égouts, nous confirmant à leur dégoutant retour la présence des bébétes. Mais qu'on pouvait pas rentrer par là. Passage trop petit !

Henrich partis a la pêche aux renseignement chez les vendeurs d'animaux exotique et revint avec un livreur, un vivarium et un varran flamboyant.

Emmy, Dan'le et moi même nous sommes allez voir pour trouver du somnifère, nous sommes tomber sur un barbier qui voulait absolument me retirer une dent... Et le Guri voulait absolument perdre dix pièces d'or pour me faire opérer... J'ai refusé, et le Guri a perdus ses pièces. Bien fait ! Pendent que je parlais et essayait de faire comprendre que j'étais d'un naturel très attaché a mes crocs, Emmy déroba ce dont on avait besoin. Ce qui nous épargna de perdre 500 pièce d'or dans un produit plus que douteux.

Quand a l'elfe Pyle, il partit a la rencontre des étudiants, mais nous relata sommairement sa rencontre, nous citant le "renvoi" de la petite. Il avait rendez vous le lendemain soir pour diner avec eux. mais dus partir par la suite.
Quand a Kalar, il partit tracer l'itinéraire de notre trajet.

Pour agir aisément, nous avons décider de nous faire passer pour des laquets de la guilde des aubergistes pour venir chercher de la picole en soirée. une idée de vendre les basilik fut lancé, et la possibilité du chiffres qu'ils représentent fut assez pour ajouter sur notre liste que voici quelque caisses pour les transporter sans leur laisser une vue sur l'extérieur mais en leur laissant de l'air.

Une partie de nos camarades du s'en aller pour diverse raison en début de soirée, si bien que nous n'étions plus que quatre pour fignoler les détails.

Messire Sacirberk s'enquit à l'école de magie sur un moyen de se défaire d'un... du truc invoqué par un mage pour protéger sa demeure en compagnie d'Emmy. Ils revinrent avec des informations alarmantes, et gênante... assez angoissante. Car ils venait de rencontrer l'un des étudiants qui réside a la demeure que nous devrons visiter. Stitch partis s'entretenir avec Dame Gwen et nous affirma qu'un Skrolics n'était pas un gros danger.

Pour ma part je passais une trés grande partie des jours suivant a observer les aller et venus des étudiants. Repérant le mage, leur trajets et leurs horaires de rentré/sortie.

Après avoir réceptionné le matériel avancé par dame Gwen, nous avons décider d'attendre le retour de nos compagnons pour passer à l'action. Je clos pour l'instant ici mon journal, nous entendons le bruit de pas de nos compagnons qui reviennent. Je poursuivrait plus tard si les Basilik ne m'ont pas pétrifié, si le Skrolics ne m'a pas gloutonner ou autre chose encore.

Admin Messages : 171 Date d'inscription : 28/08/2008

Henrick a écrit:: Un jour, en allant voir les petites nouvelles de ma communauté, on me mit au parfum d'une bien belle affaire que Betty Gwen préparait.

Ayant déjà eu affaire à cette femme, et connaissant sa position dans la hiérarchie, je me suis dis que ça ne devais pas être un petit truc. En effet, il s'agissait du casse d'une (petite ?) cave à vin, dirigée par.... euh... Yasser, dans le quartier de ... hum... dans la rue de la rapière d'émeraude.

Enfin bref, je mis au courant mon nouveau petit groupe de compagnon sur l'affaire. Après tout, on avait tous besoin de pognon, et surtout moi, pour rembourser ma belle Thalénia.

C'est donc dans la soirée que tout le groupe se rassembla, dans la petite taverne de "La Roue". La vieille Betty n'eut aucun mal à me reconnaître à cause de mon monocle et des mes fringues typiques.

Je fus l'heureuse connaissance d'un certain "Tête de pinne", l'homme agile de ses mains, mais aussi de Stitch, un second guri, qui me semblait moins accroc à la gâchette que son semblable.

J'ai néanmoins déploré l'absence de mon partenaire, l'As de pique, qui ne semblait pas intéressé par l'affaire et projetait plutôt de rejoindre ses semblables à une fête traditionnelle.

On a donc eu quelques renseignements sur la baraque du vieux Yasser, dont le fâcheux fait que ce dernier est fan des Basiliques.

Il semblerait même le vieux, pour faire peur aux visiteurs imprévus, prend un certain plaisir à exposer les victimes statufiées dans son jardin.

On a aussi été mis au courant sur le fait que la baraque était séparée en 2 parties, et que la 2ème, touchant le 1 èr étage, était occupée par des étudiants.
Il nous fallait un plan, et un bon ! J'ai donc invité tous le beau monde dans ma propre et belle garçonnière. Les idées ne furent pas absentes, mais l'organisation était plutôt déplorable. Mais je fus choisi comme "Cerveau" de l'organisation, et j'étais prêt à assumer le moindre pépin. Après tout, j'ai proposé l'affaire, je met mes amis en danger, je me dois donc de tout planifier pour que tous se passe bien.

Des idées très pertinentes ont été proposées, comme celle de se faire passer pour les gars de la guilde de la taverne. Une autre, celle de lancer des pouletd mort au coin de la pièce, et de les tirer avec une canne à pêche pour pieger un par un les basiliques d'endormir les basiliques en empoisonnant de la viande, fut aussi émise. Cette même idée d'ailleurs, a donnée naissance à celle qui consisterait à dérober les basiliques, en plus des bouteilles, une fois endormi.
Pour ma part, j'aurai émis l'idée de piquer la clef de la maison aux étudiants, afin de pouvoir entrer dans la maison, de façon "légale" aux yeux du publique.
Pour commencer, les guris et les elfes se sont intelligemment proposés pour partir dans les égouts pour voir si, il y avait une issue depuis la cave. Et c'est tout couvert de merde que ces derniers sont revenus, avec plusieurs informations intéressantes ; Les basiliques sont, parait-il, en grand partie dans la cave, et ils seraient au moins 6.

Un autre groupe de personne est partie se procurer un puissant somnifère pour mettre dans la nourriture, que Stitch aura eu pour objectif d'acheter pour les préparatifs.

Pour ce qui est de moi, je suis parti me renseigner sur les basiliques dans une des riches animaleries exotiques du coin. J'ai pu apprendre qu'il n'y avait rien qui puisse parer le regard statufiant des basiliques, mais aussi que ce sont des créatures très câlines, ne supportant pas le bruit, et aussi des charognards finit, qui bouffait n'importe quelle viande faisandée.

Le seul soucis, c'est que cette fichue commerçante a réussie à me prendre par les sentiments et je n'ai pu résister à l'envie d'acheter un magnifique Varran flamboyant. Je vais l'appeler "Mr humbert".

Ce dernier va drôlement égayer mon petit appartement.
J'ai tout de même pu lui arracher quelques astuces pour bien m'y prendre avec ces superbes basiliques, et j'ai pu être mit en contact avec un acheteur très accro lui aussi de ces êtres.

Il me semble aussi que Pyle s'est proposé d'entuber les étudiants pour pouvoir faciliter le vol de la clef.

Mais a son retour, nous avons appris la terrifiante nouvelle que ces derniers était accompagné d'un ... frolyk ? Une créature à l'apparence d'une petite fille très mignonne, mais très gloutonne. Et bien sur, il nous fit la description de l'un d'eux, qui était sappé assez étrangement, avec des cheveux court et une grande chemise.

Dans la soirée, plusieurs personnes sont parties gérer leurs affaires en parallèle. Pour ma part, je suis partis à ma guilde me renseigner un peu plus sur les mystères de la maison de Yasser.

C'est tout de même curieux ! Personne ne le connait ! Et pire encore, je n'arrivait même pas à me rappeler de son prénom, ni de sa localisation..
Mais avec le tavernier semblait quand même savoir de qui je parlais. Il avait vachement peur de me divulguer des infos. Il devait craindre quelque chose. bref, un truc tournait pas rond sur sa baraque.

Je me suis donc empressé de rentrer chez moi afin de mieux m'informer, et c'est au pas de charge que je suis retourner à la guilde. Mais j'arrivais au dernier moment. Il ne restait plus que 2 personnes louches accoudées au bar.
Tout d'abord, ce n'était pas Yasser, mais un certain Nacer Lariki, qui logeait à la rue des Orfèvres. Quand j'ai exposé mon désir de me renseigner sur sa maison, j'ai appris que ce dernier était protéger par Les Anciens... Et là, j'ai tout de suite compris qu'on avait plutôt intérêt a se mettre au vert tout de suite après le casse. Des personnes qui ont essayé de le cambrioler on soit finit statufiés par ses salamandres, soit égorgés, sur le ventre, dans la rue, sans aucune trace de sang... la marque de fabrique des Anciens entre autre...
J'ai donc informé mes amis de ma découverte.
Et ces derniers m'ont informé à leur tour qu'il s'agissait de Strolyk, et non pas de Frolyk ^^''.

Je me suis donc dirigé, en la compagnie inutile de Emily, vers l'académie de magie, située dans la quartier noble. Mais à cause de notre réputation vis à vis de l'autorité, nous avons du nous infiltrer.

Devant l'académie, des hallebardier nous ont bloqué le passage, impossible d'entrer, une fois encore. Malgré ma politesse, on ne pu entrer. Fort heureusement, nous avons fait l'heureuse rencontre d'un petit étudiant fort sympathique et assez original, qui nous invita à rentrer afin qu'il puisse écouter ce que nous avions à dire.

Je lui fis donc part de mes projets de la manière la plus sous-entendu possible... hélas, il ne goba pas un mot... La discussion prit une tournure très angoissante. Il tenait à savoir pourquoi je voulais me débarrasser d'un strolyk. Je n'avais aucune idée qui me venait... le stress me parcourait. Emily tenta tout de même de me glisser quelques mots à l'oreille, mais sa discrétion fit que l'étudiant ne crut pas un mot.

Heureusement, l'étudiant en "entretien d'intérieur" quelque chose comme ça, mit fin à la discussion d'une manière pacifique. Et il appela une charmante petite fille à nous raccompagner.

Et c'est alors que je fus frappé d'une peur incroyable. Je venais de faire un lien entre l'étudiant que Pyle avait rencontrer et le nôtre.... Le strolyk de cette même personne, qu'on nous avait décrit auparavant comme malicieuse, piègeuse et horriblement dangereuse, allait nous raccompagner, toute seule... et nous étions obliger de la suivre...

La moindre bifurcation où elle nous emmenait nous rendait pâle, moi et Emily. Heureusement, nous avons réussis à rejoindre la sortie sans dégats physique. Et je précise bien physique. Ces créatures font peur rien que par leur présence et leur comportement. L'étudiant nous a tout de même décris leur véritable apparence ; Des espèces de lutins boutonneux, petit, à la peau d'apparence caoutchouteuse.

Une fois rentrée à ma garçonnière, on a mit au courant les autres sur ce que nous avons vu et entendu.

Le truc étrange et effrayant, c'est que, selon Pyle, le strolyk s'appelait Jessica, et nous, quand nous avons entendu l'étudiant appeler son strolyk, ce dernier s'appelait Rebeca. Il semblerait donc qu'il y ai plusieurs strolyk dans les appartements. Après avoir testé les somnifère sur Mr humbert, je partis illico à mon rendez-vous avec une brave personne appréciant beaucoup la compagnie des basiliques. Malheureusement, je ne me rappelle plus de son prénom, mais je pense qu'en relisant une de ces lettres, son nom me reviendra en lisant sa signature.

Je fus très bien accueilli et j'eus une longue discussion sur les basiliques. Cette personne m'a convaincu... je veux un basilique pour moi ! Je suis maintenant moi aussi pris d'amour pour ces bestiolles. J'essayerai d'en garder un pour moi. Par contre, faudra que les autres fassent attention si il ne veulent pas se faire pétrifier.
J'essayerai de revoir cette personne lors d'une soirée à un opéra. J'emporterai avec moi Mr humbert.

Nous avons préparé, à mon retour, le chemin que nous feront lorsque nous partirons des lieux du vol. Une planque sur les docks me semble être un bonne idée.

Betty gwen nous a livrée tous le matériel dont nous aurions besoin.
Il ne nous reste plus qu'à nous débarrasser des étudiants et récupérer la clef. Au pire des cas, comme la rumeur le veux, j'ouvrirai la porte rien qu'en la regardant.

Admin Messages : 171 Date d'inscription : 28/08/2008

Henrick a écrit:: Ca y'est. C'est le jour du casse. Je suis horriblement stressé. Tout doit se passer selon le plan. Nous devons éviter tous les imprévus. Je ne sais même pas si le strolyk va ramener sa carcasse dans la partie où il n'est pas censé avoir accès. De toute façon, la vieille Bety Gwen m'a sortie qu'il devrait pas trop bouger. J'en profite pour paunifier le plan en dernière minute. J'expose a mes compagnons présents ( Emily, Ryhn, Kalar, Stitch et Pyle ) les priorités. On DOIT chopper en priorité les bouteilles de... euh... ah merde, c'est comment déjà ?... Chateau cassecouille ? Rho merde ! Je sais plus ! Je l'ai bien noté quelque part ! Humm... où est ce que j'ai mis le papier.... rhaaaaa ! *stress encore plus* Ah ça y'est ! Du chateau Castille ! On doit piquer 6 bouteilles de chateau Castille ! Bien sur, on est totalement libre de piquer ce qu'on veut en plus. Les basiliques me semblent intéressant à piquer aussi, mais super dangereux finalement. On verra bien selon la progression du truc.

Un peu plus tard, dans la matinée, je me fais livrer devant chez moi, un charriot de la guilde des marchands, avec les déguisements et plusieurs caisses où stoker ce qu'on voudra placer dedans, et bien sur, 2 ânes pour tirer la chariotte.. Pour le moment, ça se déroule bien. Le péquenot chargé d'emmener le matériel m'informe du lieu de Rendez-vous. Tout va bien pour le moment. J'invite mes comparses à m'imiter en revêtant les uniformes de la guildes des marchands. Je respire un coup, et on se lance.

Les premiers problèmes ne tardent pas à venir. Je me rend compte qu'en fait, personne ne sait conduire de chariot, voir, commander des ânes. Heureusement, Kalar s'y colle tout de même et semble s'en sortir tant bien que mal.
Il fait froid. Nous sommes 12h30 et la brume est à couper au couteau. Il n'y a personne dans les rues. Nous sommes dans les conditions parfaite pour faire notre coup sans être vus. Il me semble que les étudiants en magie qui louent la boutique ne rentrent que le soir. On ne devrait pas être dérangé par eux.
On arrive a hauteur de la porte d'entrée. Emily me remet la clef de la maison. J'ouvre la porte doucement ; Je sais que le coin grouille de basiliques. Et en effet, je tombe tout de suite nez à nez avec un de ces trucs sifflant. Heureusement, c'est lui qui a plus peur de moi que je n'ai peur de lui, et se carapate vitesse grand V au bout de l'espèce de couloir sur lequel donne l'entrée. Je fais signe a Stitch de me faire passer les lapereaux faisandés empoisonnés afin d'offrir à ce premier basiliques un repas de choix. Réussite totale : l'idée fonctionne super bien. Je suis déjà plus sur de moi. J'ouvre complètement la porte, et entre. Un deuxième basiliques semble se pointer dans les escalier sur la droite. Je ne me fatigue pas et dépose tout bêtement le piège gastronomique sur une des marches des escaliers. Heureusement pour moi, le repas proposé semble plus intéressant que ma propre personne. La bestiole commence à se baffrer de mon offrande. Par contre, le poison semble pas agir aussi efficacement que prévu pour celui ci. Il se rend compte du piège après plusieurs bouffées gourmandes et compte se venger de la supercherie en me figeant à la manière des pauvres malheureux pierreux exhibés dans le jardin. Dans un mouvement d'élan, je choisi comme protection la porte d'entrée et je me planque derrière afin d'échapper au regard pétrifiant de la chose. Malheureusement, le problème semble prendre une toute autre ampleur. Le Basilique commence à se tordre de douleur en gémissant sur le sol, ce qui a pour conséquence de rameuter un autre basilique et surtout, d'élever des voix inattendues à l'étage.

La situation prend des apparences catastrophiques. Les étudiants semblent être à la maison, avec leur strolyk très certainement, et je me retrouve avec des basiliques endormis dans le couloir, et un en train d'agoniser bruyamment. Si l'un des deux étudiants voit la scène, je suis quasiment sur qu'il appellera la milice, et pire encore, sortira les armes.

Je balance mon 3 ème lapereau mort sur le 3 ème basilique, m'empresse de ferme la porte, et je demande a mes compagnons de se faire la malle tout de suite le temps que ça se calme. Stitch et Emily décident de se planquer dans un coin afin de surveiller la situation. La charriot bouchant très nettement la ruelle dans laquelle nous nous trouvons, il vaudrait mieux pour nous qu'on s'éloigne, voir, qu'on fasse des pâtés de maison.

Encore une fois, la situation semble dégénérée complètement. Kalar perd le contrôle des ânes et ses derniers s'arrêtent brutalement. J'essaye de chopper leur rennes et de les tirer. C'est que ça à l'air de marcher ; Je manque de me faire écrabouillé par la soudaine lancée du charriot. J'arrive tant bien que mal à m'accrocher au truc, et je finis par tenter d'éviter les caisses qui dégringolent de la charrue. La chariotte percute le pan d'un mur, et dans un fracas épouvantable, 3 caisses finissent inutilisables au sol, et bien sur, le charriot se fait endommager. Pyle tente à son tour de prendre le contrôle de l'attelage diabolique. Heureusement, grâce à un travail d'équipe, ça sera aussi avec l'aide de Kalar que ce dernier réussira a calmer la chose.

On retourne vers la boutique de Nasser 10 bonnes minutes plus tard. Quelle surprise ! Stitch et Emily semble avoir tout "réglé" ! Une statue de pierre à l'effigie d'un des étudiants est apparue dans l'entrée, avec son basilique qui va avec, écrasé par cette dernière (la statue, bien évidement.). Des caisses sont chargées dans l'entrée, et malgré les priorités, ce sont les basiliques qui sont chargés en premier. Quelques objets de valeurs piqués par ci par là sont eux aussi placés dans des caisses. Et on m'informe avec horreur que le strolyk a été vu, et a même engagé une pseudo discussion avec le Guri. Il n'y a pas de temps à perdre. Je fais signe au matou et a Stitch de venir avec moi à la cave. On allume la torche et commence à descendre. Soudain, Rhyn sent une présence mystérieuse. Je leur rappelle qu'on n'a pas le temps de méditer sur des soupçons et que quand on aura les bouteilles, on se tire illico.

On passe devant une porte étrange et vibrante, produisant diverses bruits tel que des gémissements. C'est un imprévu. On ne doit pas être ralentit par. Et, de plus, le stolyk étant en liberté, c'est surement un foutu piège à con. Ryhn a l'air de posséder le portrait parfait et est très séduit par l'idée d'ouvrir la porte. Il l'ouvrira si il veut, mais pas avec moi dans le coin.

On continue a s'enfoncer dans la cave et on finit par déboucher devant 2 belles portes bien sécurisées. Des verrous d'aussi bonne qualité cachent surement quelque chose de très précieux ! C'était en fait un triple verrou régit par un système mécanique de charnière coulissante en 2 temps munie d'une crémaillère linéaire mettant à l'épreuve la solidité de mes rossignols. (J'invente. Ce que je dis n'a pas de sens mais en s'en fout, c'est un jeu quoi...). Ce coup ci, je n'ai pas réussi a ouvrir la porte en la regardant simplement, comme quoi... La porte donnait sur des bouteilles de vin de très hautes qualité. Tarivol m'avait décrit les lieux et effectivement, c'est en voyant qu'il manquait une bouteille de Chateau Castille que je me suis rendu compte qu'il était bien passé par là. Le problème, c'est qu'il n'y en avait que 6, et la vieille les voulait toute.. Il faudra que j'aille la récupérer plus tard. Je prend encore 2 autres bouteilles en bonus, et je me commence à me faire la malle. Je laisse Rhyn derrière moi, devant sa fichue porte. Il va voir celui la.. il met le plan en danger. A l'étage, tout le monde vole de tout et de rien. Personne n'a l'air de vouloir partir, complètement absorbé par les richesses environnantes. Quelques minutes plus tard, quelques chargements de caisses plus tard, et après l'arrivée de Rhyn avec un truc humano-crapoïde, on commence enfin à partir.
Plutôt que d'aller directement au lieu de RDV, on passe avant tout chez moi afin d'y déposer quelques bricoles et de s'y changer. Rhyn se permet de nourrir sa bestiole avec ma bouffe, et de l'habiller avec mes fringues... Ca devient très énervant. Je ne le connais pas et il se croit tout permit CHEZ MOI ! Heureusement, je ne suis pas rancunier et je sais faire preuve de tact. De toute façon, pas le temps de méditer là dessus, je fonce tout de suite à la planque de "l'elfe qui vole". Une fois arrivé sur les lieux, je vois 2 clochards en train de siffler la bouteille de Castille en question. Je me précipite sur celle ci, l'arrache des mains de l'intéressé, et lui colle mon poing dans la gueule. Dans la rage, je manque de lui casser une des 2 autres bouteilles de vin supérieur, que je portais avec moi sur le moment, sur le haut de son crâne. Mais gâcher un vin précieux sur un bout de bâton merdeux, ça ne vaut pas le coup. Je lui colle un coup de pied où je peux, et je me tire a ma garçonnière. Heureusement, Pyle s'est révélé être un excellent arnaqueur et a réussi a cacher la misère comme il a pu. J'ai vraiment eu du mal à distinguer les vraies bouteilles de la fausse. Je repars tout de suite après, seul, vers le lieu de RDV sur les docks.

Je suis le premier a arriver sur les lieux. L'espèce de garde devant le hangar me laisse entrer, et je me passe facilement 15 bonnes minutes à compter les rats qui peuvent passer en attendant le reste de la fine équipe. On m'apprend au passage que le charriot a été accident dans une boutique, avec 2 des 3 basiliques, et que toute les caisses se sont brisées sur le coup, libérant ainsi les bestiolles énervées.

Betty fait son apparition et je lui fait un débriefing du truc. A priori, elle ne m'en veut pas pour le chariot. Elle vérifie les bouteilles, les regarde rapidement, et m'annonce qu'elle est satisfaite. Elle a l'air aussi OK pour écouler notre marchandise. On a tout de même réussi a toucher quelques 6500 Po de bien. Betty Gwen semblait très intéressée par la chose qu'a ramené le matou. Mais étant affublé d'une vision niaise de l'humanité, ce dernier nous fait une démonstration de ce à quoi peut ressembler une personne défendant un animal au prix de sa vie. Finalement, la Betty est prête a nous emmener avec elle a une ville du nom de Kalar avec pleins de trésor si on lui refourgue le guignol à l'apparence de crapaud. A peine la transaction finie, on a déjà un RDV pour aller a Bejofa.

Admin Messages : 171 Date d'inscription : 28/08/2008

Henrick a écrit:: L'aventure continue, je règle quelques petites affaires personnelles, met un max de pognon sur un compte en banque, passe a mon association dorer mon image et me prépare pour le voyage. Effectivement, on passe nous prendre tous à ma garçonnière, et après un petit voyage en barque en direction de Bejofa, on finit notre voyage a une vieille auberge où Betty Gwen avait déjà prévu tout pour notre arrivée. On est """"accueilli"""" par la gérante qui s'empresse, dans la joie et la bonne humeur, de nous conduire à nos chambres. Ayant entendu des bruits assez inquiétant à propos de la ville, je me renseigne sur cette dernière auprès de notre aubergiste.

La semaine se fait longue, et je ne compte pas sortir (c'est le meilleur moyen que je me fasse tuer..). Je me venge dans un premier temps du plan qu'on m'a bousillé à ma manière. Ensuite, pour passer le temps, je demande au gamin d'aller me chercher des pièces mécaniques pour bricoler une serrure de luxe. Je suis sur que je pourrais en tirer quelque chose. Entre temps, je fais l'heureuse et réconfortante rencontre d'un membre de la Main Objet. Ce dernier a pas mal entendu parlé de moi et m'annonce que notre tête est fortement mise à prix, surtout la mienne. Plus dérangeant encore, il paraîtrait que Betty Gwen soit en train de pendouiller au bout d'une corde. Nous ne sommes plus en sécurité ici , J'annonce dans la soirée à mes compagnons qu'on devrait se barrer de l'auberge si on veut pas se faire liquider. Grâce à Stitch, je réussis à trouver une planque "potable" dans une cave, moyennant 1 Po par jour, avec Emily. Pyle, lui, choisira de se planquer en surface, et le matou, aura l'excellente idée de partir SEUL, dans une forêt, pour y survivre de NUIT, avec une grosse prime sur sa tête. Stitch, lui, il bosse et je ne sais pas ce qu'il fiche ni où il crèche. Mais bon, les conditions étant très difficiles, Emily ne tient pas, et finit par s'en aller.

Mais dans la nuit, je suis réveillé par un groupe de 4 gurris. Ils se dirigent vers moi ; Je me réveille et les salut. Ils n'ont pas l'air de vouloir discuter, mais plutôt de vouloir me faire quelques misères. Je leur propose de négocier ma vie. Je leur file mes vêtements en échange de ma vie. Je ne peux faire que ça. Les 4 gurris, dont 1 très costaud me barre la route et m'empêche de me sauver de la cave. La salle est très étroite. Je n'ai pas d'échappatoire. Je suis maintenant en pagne et les gurris se dirigent vers moi, matraque en main. Dans un élan de panique, je fonce vers la sortie, désespéré. J'évite tant bien que mal le premier, puis le coup du deuxième. Malheureusement, je n'arrive pas à contourner le plus gros qui réussi à m'attraper. Je ne parviens pas à éviter le coup de matraque du 4 ème, mais réussis tout de même, à exposer le bras du gros qui me retient au coup suivant. Il lâche prise, je retente de me sauver. Je change de tactique : Je rentre dans le 4 ème. Je lui fonce dans le lard. J'y parviens, mais malheureusement, je suis trop ralentit et les 2 premiers m'attrapent chacun par un bras. Le lard a bien envie de se venger, et me file un bon coup dans le vide. Je peine a éviter le second. Ils sont vraiment motivé à me faire la peaux. Je sens que je vais mourir. Dans un élan désespéré, je réussi à plaquer au mur les 2 gurris qui me retenaient. Je parviens à bousculer le 4 ème gurri, et j'évite le coup du gros et je parviens a attendre la sortie de la cave. Une course effrénée a alors lieux dans les rues. Je ne connais pas la ville. Je suis extrêmement fatigué et je prend les premières rues qui me tombent sous la main. Il faut très sombre et je ne vois rien. Je suis pied nus aussi. Les gurris commencent à gagner de la distance. Je sens le souffle de l'un d'eux derrière moi. Je prend une ruelle sinueuse, passe par dessus des caisses, évite un chien, contourne une chariot, mais rien à faire, les gurris me poursuivent toujours. Je commence à arriver sur du terrain vague, la pleine lune éclaire mieux ma route et le froid glacial de la nuit parvient à endormir la douleur de mes pieds. Je suis presque à bout de souffle. Un des gurris aussi, et ralentit le tas. Je réussis a semer 2 de mes 4 poursuivants. Je parviens à rejoindre les bords d'une rivière. je la longe, je ne cherche pas à savoir où je vais, je cours aussi vite que je peux. j'ai bien du parcourir 500 mètres, je commence vraiment à fatiguer, la situation devient vraiment désespérée. Un des 2 gurris commence lui aussi à sentir très sévèrement la fatigue et finit par être distancé. Ma course effrénée continue a travers la ville, j'arrive au niveau d'une plage. Le dernier gurri semble manquer de chuter. J'hésite à sauter dans l'eau. Je risque une hydrocution, mais, j'aurais surement plus de chance de m'en sortir que si le dernier rat réussi à m'attraper.. Mais je n'ai même plus la force de m'approcher prêt du bord. Je ne sens plus mes jambes. Je me demande même si c'est moi qui en ai le contrôle. Les battements de mon coeur étaient tel que j'avais la sensation que l'on me frappait la poitrine à coup de bâton. Je DOIS survivre. J'ai réussis à m'enfuir et je ne dois surtout pas mourir là. Et alors, dans un sprint final, le dernier gurri fut distancé. Je n'en peut plus. Je me réfugie dans une ruelle. Je suis fatigué, et la panique, mélangée à la peur, et au froid font que je n'arrive plus à me retenir. J'ai tout perdu. La moindre claque pourrait avoir raison de moi. Je ne suis même pas sur de survivre à la nuit ou au malade environnante. Il faut que je trouve un refuge...