"Je fit du repérage pendant deux journées pour voir où se terrait Saïd Ib'n Youssef. Le trouvant enfin je lui proposai de me suivre pour trouver mont et merveille, mais lui et surtout son garde refusèrent. J'insistai en prétextant que je conaissait son oncle, Saïd Oussama Ib’n Youssef-Chaabi, qu'il m'a rendu service il y a peut et que je voudrait le remercier en faisant plaisir à son neuveu, ce qui eut pour effet de les convaincrent ou tout du moins de les rendre moins méfiants. Je les enmenait donc dans une ruelle de catins et leur dit de choisir leur préférée. Saïd jetta son dévolut sur un jeune éphèbe , le garde ne broncha pas et il dut y avoir deux femme qui le toucha et le caressa pour qu'il accepte enfin d'en prendre une.
Je les enmmenait dans une maison de pass du nom de l'Orchidée, fit un signe à la patronne pour que l'on ne nous dérange pas. Pour Saïd ce fût simple, étant dans des chambres séparées et ayant les clés, personne ne fit la difference entre un cri de plaisir et son cri de douleur quant mon poignard s'enfonça dans ses côtes. Mais son garde ce fût autre chose, lui un coup de dague ne lui suffit pas et il se rua sur son arme pour engager un combat. Mais que peut faire un homme nu et poignardé contre un homme en arme et sain? Et bien c'est simple une entaille au bras une autre à la jambe et une dernière au torse. Un beau combat mais perdu d'avance pour lui.
J'emballe soignesemment les corps dans des draps pour ensuite les transporter dans les égout payant au passage une taxe aux gouris. Je ressort le corps de Saïd dans une petite ruelle et dépose tout près une catre de tarot imbibée de sang. Celui du garde ira dire bonsoir aux poissons. Les vêtements et autre servira à la guilde."