[prologue] Pour Quelques Heures de Sommeil en Plus

Mois de Solem,

L’été est chaud est moite dans les bordels de l’Antalia intra-muros. A l’Orchidée une grande bâtisse que les quelques restes grotesque de sa splendeur passée font paraître encore plus décrépite. Il en va de même pour la taulière de l’endroit : Inès Gonzolla, plus connue sous le sobriquet de la Goulue.

La grosse femme, qui a déjà passablement servi du temps où elle était une simple gagneuse, est outrageusement fardée pour une heure aussi indue du matin. Elle est vêtue d’une robe de nuit en dentelle noire ajourée, à demie ouverte sur un ventre pâle. Son accoutrement laisse voir des jarretières d’une propreté douteuse. Elle se dandine l’air las à travers le grand salon silencieux où la plupart des chaises chaises sont retournées sur les tables. Deux souillons font le ménage et efface comme elle peuvent les traces des excés de la soirée. La goulue semble un peu inquiète et –pour une fois pas bien bavarde lorsqu’elle apporte quelques tranches de pain noir, des dates et des raisins, du lait un café bort et fumant ainsi que quelques autres menues victuailles vers là table où vous ête,s -presque tous déjà probablement - installés.

[une petite présentation de vous au reveil serait, ici, la bienvenue...]

Fort heureusement pour lui, Franc Fontaine ne fut pas réveillé par le brouhaha de la femelle, mais par les premiers rayons du soleil (Il faut dire, il a l'habitude de se lever en même temps que le soleil). Ses dernières journées furent très riches et donc son sommeil très lourd. On peut lire sur son visage, et plus précisément sur joues, que son oreiller possédait encore quelques plis au moment où il s'est effondré, satisfait de lui, sur son lit, avant d'entamer une bonne nuit de sommeil. Franc n'est pas encore rasé, et un fin collier de barbe est présent, le vieillissant ainsi.
Il a pu nouer à la va-vite ses cheveux, et sa grande mèche grasse unique répond à l'appel. L'absence de son monocle permet de distinguer ses deux petits yeux encore un peu éteint. Aujourd'hui, c'est Franc Fontaine qui est présent à la table. Le père Franc sommeil encore en lui.

Arrivant juste après "Franc" Sir Pyle S. Culpa, lui, est réveillé, propre et armé. une queue-de-chevale mise en arrière parfaitement et bien attachée par une petite ficelle noire. Mise apparat quelques petite cernes son visage est frai et rayonnant, du moins autant que l'on peut l'être à cette heure-ci. Une épée longue est à son côté et un poignard à l'intérieur de sa cape. Cette dernière étant de très bonne qualité mais ayant quand même vécue. Le reste de ses habits sont de la même qualité mais beaucoup plus sombre bien que très léger.

Quelques minutes après les arrivées successives vous finissez par remarquer un craquement à intervalles régulier. Parfois le craquement est précédé d'un bruit d'ecorce qui tombent sur le sol. lorsque votre regard se tourne vers le bruit vous remarquez d'abord des coquilles de noix et de noisettes, puis vos yeux commencent à distinguer les contours d'une silhouette brune aux reflets dorés. Et enfin vous comprenez que Dan'l vous épie en se réagalant des noix et de fruits secs.
Une des filles regarde le coquilles puis lache un soupir en voyant le responsable de ce bazar. Alors Dan'l se relève, lance un sourire enjôleur à la taulièere écarquillant ses yeux acajou et brillant.
Il s'avance à la table, prend son siège attitré et s'assoit face aux deux occupants. Son visage semble quelque peu tiré. Il déposedevant Franc et Pyle Un fin dossier de quelques. le titre est écrit en majuscule. C'est un nom rayé d'une unique barre rouge. (le nom est Leymarr)

La fille assise en bout de table, qui à cette heure indue disparait sous la masse désordonnée de sa tignasse noire, se baffre plus qu’elle ne mange avec du pain sec et des haricots - qu’elle a sans doute dut chiper aux cuisines. A la voir on aurait dit qu’elle n’allait pas pouvoir manger de nouveau avant plusieurs semaines…

Vous en étiez là de vos mastications silencieuses lorsque la porte de l’extérieur s’ouvrit avec brusquerie. Deux grands gaillards, l’un chauve et mal rasé, l’autre boiteux tout de cuir vêtus, bâtis comme des bœufs et armés jusqu’aux dents, entrent avec l’air frais et le soleil matinal. Les deux gorilles sont suivis par une blonde à l’air malcommode.

La blonde se dirige vers la mère maquerelle - qui à trouvé refuge derrière son comptoir et semble vraiment mal à l’aise - Tandis que les deux femmes discutent a voix basse et qu’une bourse bien remplie change de mains - passant de la caisse de La Goulue aux poches de la blonde -, les deux costauds viennent vers votre table…

Le chauve, sans façons, s’assoit sur le coin de celle-ci tandis que le pied-bot se sert dans la nourriture posé devant le frère Fontaine.

Gros-bras chauve a écrit:

J’vais êt’clarteu, bande d’cafards, hein ! alors ‘sgourdez moi bien pis braquez vos mirettes su’mon rat’lier : f’riez myeur d’pas fricotter dans l’qu’rtier, hein ! ‘ci c’d’à nous ! ‘lors ouste ! hein ! allez magu’iller ailleurs sinon y aura concert d’surin pour tous et d’la viande froide à diner… héhéhé !

Et comme pour appuyer ses paroles d’un geste il retourne le pichet de lait sur la tête du pauvre curé qui n’en peu et donne un coup de pied dans un tabouret posé là qui s’en va rouler au milieu de la carrée. Puis lui et son collègue s’en retournent vers leur comparse qui s’apprête a quitter l’établissement…

*je rappelle que je ne suis pas vêtu en cureton pour aujourd'hui ^^*
Bordel de putin de merde (que je m'écris dans ma tête). Je monte dans ma chambre me changer et me rincer la tête avant que le lait ne commence à coller.
Quand j'aurais finit, si les deux gaillards et la pétasse blonde se sont barrés, je vais demander à la femelle de gérante qui sont ces mecs là, bien que je me doute qu'ils fassent parti d'une "famille" ou d'une grosse bande de bandit. J'espère que le mec qui m'a versé mon pichet de lait sur le coin du crâne se fera transpercer par ma future création.

"Je monte à la suite de Sacirbeck. En un éclair je rallie ma chambre, où je saisi mon arbalète et mon matériel. Je me précipite a la fenêtre qui donne sur la rue et je suis les 3 lourdeaux du regards, et j'essaye d'ouïr ce qu'il bavasse.Je glisse les lames dans leurs logements. J'enfile ma pèlerine encore maculée de de petites tâches de sang sur les ourlets. Puis je redescends en toute discrétion, sort et commence à les filer le plus discrètement.

au même moment de se raffut kalar descend, plein de sueur et d'un regard de peur se focalise sur la jeune dame.
il est torse nue accompagné de son bas de pyjama (si on peut dire que sait un pyjama )
s'avance vers la table prend un tabouret, l'attrape mais en le tirant le tabouret se retourne, sous un geste très mou d'ou du personne qui n'est pas du matin. Remonte le tabouret et s'assit dessus

- "Ahhhhhhhhhhh", il s'étire les bras pendant au moin 10/20 secondes
...
-" j'ai fait un sacré mauvais rêve se soir! Heu j'ai une question ses quoi se raffut ? y en a qui dort vous pouvez faire moins de bruit merde". d'un air assez énervé

Je remercie la petite dame bien bas.
Bon ben à partir de maintenant, je ne prendrais que de l'eau au déjeuner. Ca collera moins si ce genre de scène venait à se reproduire. Je préfère cela qu'un coup d'espadon dans le ventre.
Ca reste néanmoins problématique tout ça.

[scénario terminé en table de jeu, ouvrez un nouveau sujet pour vos résumés et commentaires]